Des soleils palpitent sous mes paupières.
Pourtant la camera obscura ne révèle rien.
Dans son silence
Aveugle le temps bat
sous mes tempes.
Une eau en apnée
court sous la glace
danse sans chanter
puis refait surface.
Elle pousse alors son souffle.
Dans un moment ébloui.
Et ma peau brulée
ne cherche plus
son hile
.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire